
Helen Duceau se dit « Sculpteuse sur Terre », comme on pourrait dire danseuse, elle sculpte en dansant autour de sa terre, son pain d’argile. Formée par sa grand-mère artiste dès l’enfance, Helen a suivi les enseignements de plusieurs responsables d’ateliers d’arts plastiques, dont celui de Vanves Malakoff (92) entre 1998 et 2000 et celui de l’Ecole Supérieure d’Art de Toulon, en 2012 et 2013 (sections Peinture et Céramique).
Ses créations, divinement humaines, naissent d’un calme intérieur profond où les mains agissent sans l’ombre d’un doute. Femmes, hommes, couples, têtes et bustes, arrivent dans leur beauté nue, dignes et humbles à la fois.
« Une fois mes mains plongées dans la glaise, j’ignore presque tout de ce qui va émerger. Je découvre mes œuvres avec autant de surprise qu’une mère à qui l’on dit « C’est un garçon ! » Avec leur air à la fois classique et moderne, les oeuvres d’Helen Duceau sont comme intemporelles. « Or » du temps, elles célèbrent la vie, l’amour, la beauté et la bonté.








Influences et courant d’art Les créations d’Helen Duceau sont comme venues des peuples premiers des quatre directions. Ses voyages à Madagascar, dans l’Océan Indien, au Mexique et au Chili ont semé des graines en elle et sans doute contribué aux couleurs de ces visages, africains, asiatiques, indiens, amérindiens. Son travaille est inspiré de l’Art naïf et de l’Art brut, avec … Aujourd’hui, Helen Duceau aime surtout l’idée d’appartenir à un « Bon courant d’Art Frais », un courant artistique dont la vocation serait de servir et diffuser la beauté et la bonté à la fois (cf la conférence de François Cheng)